Le donneur de sang James Harrison

© Yuriy Klochan / 123RF
À 14 ans, James Harrison passe sur le billard pour se faire retirer un poumon. Il reçoit alors environ treize litres de sang. Bien conscient qu'il doit la vie à ces dons de sang, cet Australien décide d'en donner lui-même dès qu'il aura atteint sa majorité. Il démarre en 1954. Par hasard, les médecins découvrent des anticorps rares dans son sang. Une injection est développée à partir de ceux-ci contre la maladie de Rhésus, une affection qui tue chaque année des milliers de bébés prêts à naître parce que leur sang est incompatible avec celui de leur mère. Surnommé "l'homme au bras d'or", James Harrison a fait plus d'un millier de dons de plasma sanguin, donnant son sang en moyenne toutes les trois semaines pendant 57 ans. Grâce à lui, environ 2 millions de bébés ont survécu en échappant à la maladie hémolytique du nouveau-né.
À 14 ans, James Harrison passe sur le billard pour se faire retirer un poumon. Il reçoit alors environ treize litres de sang. Bien conscient qu'il doit la vie à ces dons de sang, cet Australien décide d'en donner lui-même dès qu'il aura atteint sa majorité. Il démarre en 1954. Par hasard, les médecins découvrent des anticorps rares dans son sang. Une injection est développée à partir de ceux-ci contre la maladie de Rhésus, une affection qui tue chaque année des milliers de bébés prêts à naître parce que leur sang est incompatible avec celui de leur mère. Surnommé "l'homme au bras d'or", James Harrison a fait plus d'un millier de dons de plasma sanguin, donnant son sang en moyenne toutes les trois semaines pendant 57 ans. Grâce à lui, environ 2 millions de bébés ont survécu en échappant à la maladie hémolytique du nouveau-né.
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