Un "éclair" dans la tête

Jacqueline Sauvage le 20 février 2017 dans Sept à Huit. © AFP PHOTO / TF1
La République du Centre, présente lors du procès, cite encore Jacqueline Sauvage à la barre : "Je savais plus. J'ai pris peur. J'ai perdu conscience. J'ai eu un éclair. Je suis partie dans la chambre. J'ai pris les cartouches. J'ai chargé, je suis partie vers la porte. J'ai tiré les yeux fermés. Et .. Et.. je me suis rendue compte. J'étais folle. J'ai paniqué. Je suis repartie dans la chambre j'ai reposé le fusil. Je suis allée vers le téléphone, j'ai fait le 18. J'ai dit 'venez venez, j'ai tué mon mari'. J'étais presque inconsciente". C'est assis sur la terrasse que Norbert Marot s'est fait tirer dessus. Selon Jacqueline Sauvage, juste avant les tirs, il "cuvait son whisky" sur une "chaise en plastique blanc". Il n'était pas armé. Il ne l'avait pas menacée avec une arme ce jour-là, mais Jacqueline Sauvage précisera : "pas ce jour-là, [mais] il l'a déjà prise [l'arme, pour la menacer] avant".
La République du Centre, présente lors du procès, cite encore Jacqueline Sauvage à la barre : "Je savais plus. J'ai pris peur. J'ai perdu conscience. J'ai eu un éclair. Je suis partie dans la chambre. J'ai pris les cartouches. J'ai chargé, je suis partie vers la porte. J'ai tiré les yeux fermés. Et .. Et.. je me suis rendue compte. J'étais folle. J'ai paniqué. Je suis repartie dans la chambre j'ai reposé le fusil. Je suis allée vers le téléphone, j'ai fait le 18. J'ai dit 'venez venez, j'ai tué mon mari'. J'étais presque inconsciente". C'est assis sur la terrasse que Norbert Marot s'est fait tirer dessus. Selon Jacqueline Sauvage, juste avant les tirs, il "cuvait son whisky" sur une "chaise en plastique blanc". Il n'était pas armé. Il ne l'avait pas menacée avec une arme ce jour-là, mais Jacqueline Sauvage précisera : "pas ce jour-là, [mais] il l'a déjà prise [l'arme, pour la menacer] avant".
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