Le système de géo-localisation aurait-il pu le sauver ?

L'Italie n'a pas activé le nouveau système de géolocalisation des appels d'urgence. © Soccorso Alpino/Kontrolab/SIPA
Une géolocalisation standard a pu être faite mais, dans cette zone peu couverte, la localisation était clairement imprécise et pouvait atteindre une zone de 20 kilomètres. Selon Girolamo Galasso, le chef des secours alpins de la région interrogé par l'AFP, le système de géolocalisation des appels d'urgence, aurait grandement facilité les recherches du jeune homme. "Avec l'AML, on aurait localisé Simon avec 20 ou 50 mètres de précision, c'est suffisant dans cette zone découverte. Mais ce système n'est pas encore disponible", a-t-il expliqué. "Dans une situation pareille, si la victime est géolocalisée, un hélicoptère peut arriver dans les 10-15 minutes avec un médecin", a-t-il ajouté. Cela aurait-il été suffisant pour le sauver alors que les premiers résultats de l'autopsie évoquent la rupture d'une artère fémorale, une hémorragie et une mort rapide ? Difficile à dire mais l'absence de géolocalisation a profondément ralenti les recherches dans cette zone peu couverte en réseau mobile.
Une géolocalisation standard a pu être faite mais, dans cette zone peu couverte, la localisation était clairement imprécise et pouvait atteindre une zone de 20 kilomètres. Selon Girolamo Galasso, le chef des secours alpins de la région interrogé par l'AFP, le système de géolocalisation des appels d'urgence, aurait grandement facilité les recherches du jeune homme. "Avec l'AML, on aurait localisé Simon avec 20 ou 50 mètres de précision, c'est suffisant dans cette zone découverte. Mais ce système n'est pas encore disponible", a-t-il expliqué. "Dans une situation pareille, si la victime est géolocalisée, un hélicoptère peut arriver dans les 10-15 minutes avec un médecin", a-t-il ajouté. Cela aurait-il été suffisant pour le sauver alors que les premiers résultats de l'autopsie évoquent la rupture d'une artère fémorale, une hémorragie et une mort rapide ? Difficile à dire mais l'absence de géolocalisation a profondément ralenti les recherches dans cette zone peu couverte en réseau mobile.
© Soccorso Alpino/Kontrolab/SIPA