La "corrosion sous contrainte", kézako ?

Image d'illustration. Des ingénieurs inspectent l'intérieur d'un réacteur dans une centrale nucléaire. © SIPA (publiée le 16/12/2022)

Les corrosions observés relèvent d'un phénomène de "corrosion sous contrainte", un défaut touchant les 16 réacteurs les plus récents. Concrètement, des microfissures ont été détectées au niveau de soudures. Ces soudures se trouvent au niveau d'un coude de tuyaux, situé très près du raccordement avec le circuit primaire du réacteur. Le "circuit primaire" est la boucle par laquelle passe l'eau chauffée à 330 degrés à partir de laquelle on produit de l'électricité, puis l'eau radioactive à réchauffer par la suite dans une cuve. Des circuits de secours sont raccordés au niveau du coude avec le circuit primaire. Leur mission : injecter l'eau d'un réservoir en cas d'urgence, afin de refroidir le réacteur.   

Les corrosions observés relèvent d'un phénomène de "corrosion sous contrainte", un défaut touchant les 16 réacteurs les plus récents. Concrètement, des microfissures ont été détectées au niveau de soudures. Ces soudures se trouvent au niveau d'un coude de tuyaux, situé très près du raccordement avec le circuit primaire du réacteur. Le "circuit primaire" est la boucle par laquelle passe l'eau chauffée à 330 degrés à partir de laquelle on produit de l'électricité, puis l'eau radioactive à réchauffer par la suite dans une cuve. Des circuits de secours sont raccordés au niveau du coude avec le circuit primaire. Leur mission : injecter l'eau d'un réservoir en cas d'urgence, afin de refroidir le réacteur.   
© SIPA (publiée le 16/12/2022)