L'investissement en PME via des FCPI ou des FIP n'a pas échappé au coup de rabot fiscal de 15 % décidé en novembre par le Premier ministre François Fillon. Le taux de réduction d'impôt de 22 % accordé à ceux qui ont souscrit à des parts de FIP ou de FCPI avant la fin de l'année 2001 tombe ainsi à 18 %, ce qui réduit l'intérêt de l'opération. Heureusement, ce placement garde d'autres avantages en 2012, comme l'exonération d'impôt sur le revenu pour les plus-values réalisées après cinq ans de détention. Et puis c'est surtout l'occasion d'aider une entreprise à se développer sans pour autant dépenser des fortunes puisque le ticket d'entrée n'est parfois que de quelques centaines d'euros.
Perspective en 2012
rendement aléatoire