Droits de succession

La majorité LREM veut réformer les droits de succession. © Patryssia / stock.adobe.com
Les droits de succession et de donation sont sous le feu des projecteurs médiatiques. La majorité LREM souhaite les réviser, mais le président Macron semble très prudent sur la question. "À long terme, il faut alourdir les droits de succession pour les plus fortunés", a expliqué au Figaro Bénédicte Peyrol, députée LREM, membre de la commission des Finances. Les droits de succession sont dûs sur toutes les transmissions de biens procédant d'un décès. Si la personne disparue était domiciliée en France, tous les biens (meubles et immeubles) sont imposables en France. Les droits de succession sont calculés sur la part revenant à chaque héritier ou légataire imposable. Le passif est déduit. Pour les contribuables les plus fortunés, en ligne directe, au-delà de plus de 1 805 677 euros, le taux de prélèvement est de 45%. 
Les droits de succession et de donation sont sous le feu des projecteurs médiatiques. La majorité LREM souhaite les réviser, mais le président Macron semble très prudent sur la question. "À long terme, il faut alourdir les droits de succession pour les plus fortunés", a expliqué au Figaro Bénédicte Peyrol, députée LREM, membre de la commission des Finances. Les droits de succession sont dûs sur toutes les transmissions de biens procédant d'un décès. Si la personne disparue était domiciliée en France, tous les biens (meubles et immeubles) sont imposables en France. Les droits de succession sont calculés sur la part revenant à chaque héritier ou légataire imposable. Le passif est déduit. Pour les contribuables les plus fortunés, en ligne directe, au-delà de plus de 1 805 677 euros, le taux de prélèvement est de 45%. 
© Patryssia / stock.adobe.com