Niches fiscales

Évoquée par Gérald Darmanin, l'idée de raboter les niches fiscales semble avoir été - peut-être provisoirement - abandonnée. © CHAMUSSY / SIPA
Les contribuables les plus aisés bénéficient des niches fiscales, à savoir de réductions d'impôt (investissement Duflot-Pinel, Scellier...) ou de crédits d'impôt (emploi d'un salarié à domicile ou encore frais de garde de jeunes enfants...). Depuis 2013, le plafond global des avantages fiscaux ne doit pas dépasser 10 000 euros par foyer (18 000 euros pour les investissements en Outre-mer). Le ministre de l'Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, a évoqué l'hypothèse de raboter à nouveau les niches fiscales. L'idée semble avoir été abandonnée pour le moment. La Cour des Comptes a recensé plus de 474 niches fiscales, les plus coûteuses sont celles accordées aux entreprises. Le crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) coûte 20 milliards d'euros par exemple, loin devant l'emploi d'un salarié à domicile, 4,7 milliards d'euros pour les caisses de l'Etat. 
Les contribuables les plus aisés bénéficient des niches fiscales, à savoir de réductions d'impôt (investissement Duflot-Pinel, Scellier...) ou de crédits d'impôt (emploi d'un salarié à domicile ou encore frais de garde de jeunes enfants...). Depuis 2013, le plafond global des avantages fiscaux ne doit pas dépasser 10 000 euros par foyer (18 000 euros pour les investissements en Outre-mer). Le ministre de l'Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, a évoqué l'hypothèse de raboter à nouveau les niches fiscales. L'idée semble avoir été abandonnée pour le moment. La Cour des Comptes a recensé plus de 474 niches fiscales, les plus coûteuses sont celles accordées aux entreprises. Le crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) coûte 20 milliards d'euros par exemple, loin devant l'emploi d'un salarié à domicile, 4,7 milliards d'euros pour les caisses de l'Etat. 
© CHAMUSSY / SIPA