Je perçois l'AAH, suis-je éligible à la prime de Noël ?

© Olena Yakobchuk / 123rf.com
La perception de la seule allocation aux adultes handicapés (AAH) ne permet pas de bénéficier de la prime de Noël. Les allocataires qui perçoivent également le RSA en parallèle de l'AAH, en revanche, eux, sont éligibles à la prime de Noël.

Dans ce cas, le versement est assuré par la CAF. Pour rappel, l'AAH est réservée aux personnes handicapées ayant peu de ressources, sous réserve de respecter des critères d'incapacité, d'âge, de résidence et de ressources. Elle s'élève à un peu plus de 900 euros pour une personne seule et sans ressources. Lorsque l'allocataire perçoit également le RSA, il ne perçoit qu'une partie de l'allocation adulte handicapé. 

Dans une question adressée au gouvernement, le sénateur communiste Robert Hue avait interpellé le gouvernement sur ce sujet en 2011 : pourquoi les allocataires de la seule AAH ne sont-ils pas éligibles à la prime de Noël ? Le gouvernement Sarkozy s'était alors défendu arguant de la forte revalorisation de l'AAH au cours du mandat, contrairement à d'autres minimas sociaux.
La perception de la seule allocation aux adultes handicapés (AAH) ne permet pas de bénéficier de la prime de Noël. Les allocataires qui perçoivent également le RSA en parallèle de l'AAH, en revanche, eux, sont éligibles à la prime de Noël. Dans ce cas, le versement est assuré par la CAF. Pour rappel, l'AAH est réservée aux personnes handicapées ayant peu de ressources, sous réserve de respecter des critères d'incapacité, d'âge, de résidence et de ressources. Elle s'élève à un peu plus de 900 euros pour une personne seule et sans ressources. Lorsque l'allocataire perçoit également le RSA, il ne perçoit qu'une partie de l'allocation adulte handicapé.  Dans une question adressée au gouvernement, le sénateur communiste Robert Hue avait interpellé le gouvernement sur ce sujet en 2011 : pourquoi les allocataires de la seule AAH ne sont-ils pas éligibles à la prime de Noël ? Le gouvernement Sarkozy s'était alors défendu arguant de la forte revalorisation de l'AAH au cours du mandat, contrairement à d'autres minimas sociaux.
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