Vrai/Faux : 10 idées reçues sur les radars

Vrai/Faux : 10 idées reçues sur les radars Les radars automatiques ou mobiles sont toujours plus sophistiqués, toujours plus nombreux. Naturellement, les infractions qu'ils constatent augmentent tous les ans et même les automobilistes les plus prudents n'échappent pas aux flashs. Comment fonctionnent-ils, quels sont les pièges à éviter ? Nos conseils en 10 questions-réponses.

En octobre 2003, la France inaugurait son premier radar automatique. Depuis, les routes de l'Hexagone ont été couvertes de ces boitiers et une pluie de flashs s'est abattue sur les automobilistes prenant des libertés avec la vitesse. Les radars automatiques ont permis à l'Etat d'industrialiser les contrôles routiers. Le principe est simple. Dès qu'une vitesse excessive est décelée par ces boitiers disposés sur le bord des routes, l'infraction et l'image numérique sont directement envoyées au centre automatisé de constatation des infractions routières situé à Rennes. Le numéro de la plaque minéralogique photographié est automatiquement reconnu et le titulaire de la carte grise correspondante reçoit quelques jours plus tard un avis de contravention, par courrier, pour excès de vitesse

Des parades ont ensuite vu le jour comme l'avertisseur de radar. Une solution pratique et économique représentée par un petit boîtier qui permettait d'être averti par un signal sonore et/ou visuel avant chaque contrôle et signalait même les radars mobiles. Désormais interdits, les avertisseurs de radar ont été remplacés par des assistants d'aide à la conduite (sic) dont l'efficacité tend à se réduire avec l'arrivée récente des contrôles radars embarqués dans des véhicules en circulation. Cette nouvelle génération de radars embarqués vient d'ailleurs renforcer d'autres radars installés sur les feux rouge ou d'autres, mesurant la vitesse moyenne sur un tronçon. Une panoplie d'appareils qu'il faut connaître pour éviter les mauvaises surprises. L’internaute.com vous propose de démêler le vrai du faux en dix questions-réponses.