Pierre Niney (César 2015)

Pierre Niney couronné pour Yves Saint Laurent © Jacques Brinon/AP/SIPA
Pierre Niney s'était montré particulièrement ému lors de l'obtention de son premier César, en 2015. Acclamé pour son rôle d'Yves Saint Laurent dans le film du même nom, l'acteur n'est pas parvenu à retenir ses larmes : "Ouah la vache...  Merci beaucoup ! s'est exclamé le comédien. J'ai l'impression d'arriver en caméra subjective et d'être dans une autre vie dans laquelle je vois Juliette Binoche et Kristen Stewart me tendre un César, c'est très étrange." Puis, il a remercié longuement son partenaire Guillaume Gallienne, formidable en Pierre Bergé , qui était dans la salle, aussi bouleversé que lui : "[Tu es] l'autre moitié de ce film, l'autre moitié de ce couple, l'autre moitié de cette histoire de création, de cette histoire d'amour… Tu es donc l'autre moitié de ce césar. Mais comme tu en as déjà eu cinq l'année dernière, je vais le garder celui-là, par contre, si ça te va comme ça ". Un joli discours entre sensibilité et humour qui a marqué la cérémonie.
Pierre Niney s'était montré particulièrement ému lors de l'obtention de son premier César, en 2015. Acclamé pour son rôle d'Yves Saint Laurent dans le film du même nom, l'acteur n'est pas parvenu à retenir ses larmes : "Ouah la vache...  Merci beaucoup ! s'est exclamé le comédien. J'ai l'impression d'arriver en caméra subjective et d'être dans une autre vie dans laquelle je vois Juliette Binoche et Kristen Stewart me tendre un César, c'est très étrange." Puis, il a remercié longuement son partenaire Guillaume Gallienne, formidable en Pierre Bergé , qui était dans la salle, aussi bouleversé que lui : "[Tu es] l'autre moitié de ce film, l'autre moitié de ce couple, l'autre moitié de cette histoire de création, de cette histoire d'amour… Tu es donc l'autre moitié de ce césar. Mais comme tu en as déjà eu cinq l'année dernière, je vais le garder celui-là, par contre, si ça te va comme ça ". Un joli discours entre sensibilité et humour qui a marqué la cérémonie.
© Jacques Brinon/AP/SIPA