Il est devenu acteur car il ne pouvait pas être réalisateur

© PJB/SIPA
Au départ, Gérard Jugnot avait des rêves de réalisation. Mais comme il l'explique en 2016 dans les colonnes du Monde, "c'est parce que je ne pouvais pas être metteur en scène que j'ai fait l'acteur. J'ai plaisir à ne pas être un instrument, mais le chef d'orchestre." Dès 1984, Gérard Jugnot se lance avec "Pinot, simple flic". Il réalisera ensuite des comédies dramatiques, comme "Une époque formidable" (1991), "Casque bleu" (1994), "Meilleur espoir féminin" (1999) et finalement "Monsieur Batignole" (2002). Plus récemment, il a réalisé "Boudu", "Rose et Noir", "C'est beau la vie" ou encore "Le petit piaf", son douzième long-métrage en tant que réalisateur.
Au départ, Gérard Jugnot avait des rêves de réalisation. Mais comme il l'explique en 2016 dans les colonnes du Monde, "c'est parce que je ne pouvais pas être metteur en scène que j'ai fait l'acteur. J'ai plaisir à ne pas être un instrument, mais le chef d'orchestre." Dès 1984, Gérard Jugnot se lance avec "Pinot, simple flic". Il réalisera ensuite des comédies dramatiques, comme "Une époque formidable" (1991), "Casque bleu" (1994), "Meilleur espoir féminin" (1999) et finalement "Monsieur Batignole" (2002). Plus récemment, il a réalisé "Boudu", "Rose et Noir", "C'est beau la vie" ou encore "Le petit piaf", son douzième long-métrage en tant que réalisateur.
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