Ami avec Paul Léautaud

Paul Léautaud en 1956 © ECLAIR MONDIAL/SIPA
Lors de ses premières années à Paris, Pierre Perret enchaîne les rencontres déterminantes. "Il se met par ailleurs à fréquenter assidûment l'écrivain Paul Léautaud, cloîtré à Fontenay-aux-Roses en solitaire misanthrope, qui développe son éducation en matière de littérature, de poésie, et qu'il sera l'un des rares à côtoyer régulièrement jusqu'à la fin 1955 peu avant sa mort en 1956", peut-on lire dans la biographie disponible sur son site internet. Mais cette amitié déclenchera bien des passions et fera les gros titres de la presse en 2009. Cette année-là, "dans Le Nouvel Observateur, la journaliste So­phie Delassein assure que, contrairement à ce qu'il affirme depuis près quarante ans, Pierre Perret n'aurait jamais rencontré Paul Léautaud", raconte Le Figaro. Le tout dans le but d'impressionner George Brassens, dit-on alors dans le fameux article du Nouvel Obs. Des allégations très mal vécues par Pierre Perret.
Lors de ses premières années à Paris, Pierre Perret enchaîne les rencontres déterminantes. "Il se met par ailleurs à fréquenter assidûment l'écrivain Paul Léautaud, cloîtré à Fontenay-aux-Roses en solitaire misanthrope, qui développe son éducation en matière de littérature, de poésie, et qu'il sera l'un des rares à côtoyer régulièrement jusqu'à la fin 1955 peu avant sa mort en 1956", peut-on lire dans la biographie disponible sur son site internet. Mais cette amitié déclenchera bien des passions et fera les gros titres de la presse en 2009. Cette année-là, "dans Le Nouvel Observateur, la journaliste So­phie Delassein assure que, contrairement à ce qu'il affirme depuis près quarante ans, Pierre Perret n'aurait jamais rencontré Paul Léautaud", raconte Le Figaro. Le tout dans le but d'impressionner George Brassens, dit-on alors dans le fameux article du Nouvel Obs. Des allégations très mal vécues par Pierre Perret.
© ECLAIR MONDIAL/SIPA