Michael Goldman : la polémique qui aurait pu le stopper

© Benjamin Decoin / SIPA
Dans la foulée de My Major Company, Michaël Goldman a poursuivi son activité dans le secteur du financement participatif en participant à la fondation et la création de la plateforme Tipeee en 2013, une plateforme cette fois centrée sur le financement de projets vidéo. En 2021, la plateforme a été accusée à la suite d'un numéro de l'émission Compléments d'enquête sur France 2 consacré aux fake news et qui accusait Tipeee d'héberger des contenus complotistes comme le documentaire sur le Covid-19, Hold-Up. Interrogé, Michael Goldman se défendait : "J'assume tout ce qu'il y a sur ce site, du plus antisémite au moins antisémite, et du plus complotiste au moins complotiste. Les créateurs borderline ne présentent rien économiquement. (…) Nous gardons leurs projets car nous défendons la liberté d'expression. (…) Ce serait une faute morale de supprimer des projets qui ne nous plaisent pas alors qu'ils ne sont pas condamnables juridiquement."
Dans la foulée de My Major Company, Michaël Goldman a poursuivi son activité dans le secteur du financement participatif en participant à la fondation et la création de la plateforme Tipeee en 2013, une plateforme cette fois centrée sur le financement de projets vidéo. En 2021, la plateforme a été accusée à la suite d'un numéro de l'émission Compléments d'enquête sur France 2 consacré aux fake news et qui accusait Tipeee d'héberger des contenus complotistes comme le documentaire sur le Covid-19, Hold-Up. Interrogé, Michael Goldman se défendait : "J'assume tout ce qu'il y a sur ce site, du plus antisémite au moins antisémite, et du plus complotiste au moins complotiste. Les créateurs borderline ne présentent rien économiquement. (…) Nous gardons leurs projets car nous défendons la liberté d'expression. (…) Ce serait une faute morale de supprimer des projets qui ne nous plaisent pas alors qu'ils ne sont pas condamnables juridiquement."
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