Une infinité de richesses naturelles à préserver

Les paysages présentés ici ne sont qu’une infime partie des écorégions à préserver sur la planète. Citons entre autres les savanes d’Afrique, les îles Maldives, les tourbières marécageuses de Bornéo, la taïga sibérienne, la grande barrière de corail australienne, les îles

Galápagos, les steppes de Patagonie, le bassin amazonien…

Le bassin méditerranéen, le bassin du Congo, les grandes Antilles et les montagnes d’Europe sont autant d’endroits dans le monde à abriter des espèces endémiques, des richesses géologiques et des mystères biologiques qui demeurent à percer.

A l’heure de l’information accessible partout et par tous, on oublie trop souvent que notre planète recèle des trésors inexplorés et de phénomènes qu’on ne peut expliquer. Chaque jour, des milliers de personnes, chercheurs pour la plupart, tentent de connaître un peu mieux les règles de vie sur Terre. Néanmoins, pour eux, l’information reste le fruit d’études approfondies.

Victimes de leur succès, les écorégions ont souvent vu l’activité touristique se développer de façon incontrôlée et il devient difficile, quand l’empreinte humaine est trop marquée, de faire marche arrière.

L’objectif du WWF et de White Star avec "Global 200" est "d’éviter, à l’avenir, de ne regarder la nature qu’à travers les pages d’un livre" parce que la biodiversité, c’est "une des conditions nécessaires à la transformation continue et incessante de la vie sur Terre."