Le col de l'Izoard

Le Tour de France est passé plus de 30 fois dans le col de l'Izoard. © L'Internaute Magazine - Martin Ducrot / Anne-Laure Hugny

Depuis la ville de Guillestre, il s'agit de remonter le long du Guil, affluent de la Durance. Jusqu'au 17e km, l'ascension est assez tranquille. Puis survient une pente à 7,5 % sur 7 km.
Au 24e km, le plus dur commence : 5 km à plus de 9 % de moyenne, dont 2 km à 11 % qui conduisent à la "Casse Déserte", ce site lunaire et désolé composé de roches déchiquetées et d'éboulis. Sur un rocher se trouvent deux plaques à la mémoire de Fausto Coppi et Louison Bobet, qui ont marqué la légende du col.

Enfin, restent 2 km à 10 % pour arriver au col de l'Izoard proprement dit. Son panorama sur les sommets du Briançonnais et du Queyras est saisissant.

Depuis la ville de Guillestre, il s'agit de remonter le long du Guil, affluent de la Durance. Jusqu'au 17e km, l'ascension est assez tranquille. Puis survient une pente à 7,5 % sur 7 km. Au 24e km, le plus dur commence : 5 km à plus de 9 % de moyenne, dont 2 km à 11 % qui conduisent à la "Casse Déserte", ce site lunaire et désolé composé de roches déchiquetées et d'éboulis. Sur un rocher se trouvent deux plaques à la mémoire de Fausto Coppi et Louison Bobet, qui ont marqué la légende du col. Enfin, restent 2 km à 10 % pour arriver au col de l'Izoard proprement dit. Son panorama sur les sommets du Briançonnais et du Queyras est saisissant.
© L'Internaute Magazine - Martin Ducrot / Anne-Laure Hugny