L'excuse fantomatique

La présence d'esprits pour justifier une défaite ? Original... © Endostock / Fotolia

Par deux fois, des équipes se sont réfugiées derrière la présence de fantômes malveillants pour expliquer leurs défaites. En 2010, les basketteurs des Knicks de New York, en déplacement sur le parquet des Thunder d'Oklahoma City, séjournent dans le Skirvin Hilton, un lieu hanté d'après la légende locale. Plusieurs joueurs se plaignent d'insomnie, leur fatigue expliquant ensuite la débâcle face au Thunder (106-88).

L'autre épisode se passe en Angleterre, du côté du Blackpool FC. A deux doigts d'accéder à la première division, les footballeurs du Lancashire se sont fait remonter de deux buts lors des play-offs face à Bradford, quelques années plus tôt. La faute au fantôme de Lord Nelson, un officier britannique du 19e siècle qui hante la salle de réunion du club.

Par deux fois, des équipes se sont réfugiées derrière la présence de fantômes malveillants pour expliquer leurs défaites. En 2010, les basketteurs des Knicks de New York, en déplacement sur le parquet des Thunder d'Oklahoma City, séjournent dans le Skirvin Hilton, un lieu hanté d'après la légende locale. Plusieurs joueurs se plaignent d'insomnie, leur fatigue expliquant ensuite la débâcle face au Thunder (106-88). L'autre épisode se passe en Angleterre, du côté du Blackpool FC. A deux doigts d'accéder à la première division, les footballeurs du Lancashire se sont fait remonter de deux buts lors des play-offs face à Bradford, quelques années plus tôt. La faute au fantôme de Lord Nelson, un officier britannique du 19e siècle qui hante la salle de réunion du club.
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