Dans le tennis, le sujet du dopage est encore tabou. D'une part, les contrôles positifs des joueurs sont étrangement rares. D'autre part, quand un joueur est rattrapé par la patrouille, le manque de transparence des instances sème le doute. En 2013, la Fédération internationale a communiqué sur le contrôle positif du Croate Marin Cilic plus de cinq mois après les faits... et après que la presse ait révélé l'affaire ! Le joueur, lui, avait prétexté une blessure pour se retirer du tournoi de Wimbledon. Même scénario pour le Serbe Victor Troïcki la même année, à Monte-Carlo. Le risque d'une telle confusion ? Entretenir le mystère et risquer que, dans l'esprit du public, chaque forfait de dernière minute devienne suspect...
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