Les moments qui ont marqué l'histoire du Grand Journal

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Un déséquilibré fait évacuer le plateau à Cannes
© SYSPEO/SIPA
Le 3 mars, Le Grand Journal s'éteindra après douze années d'antenne sur Canal +. Cela méritait bien un retour sur ces moments qui nous ont marqués dans le programme d'access. Le Grand Journal s'est souvent déplacé sur la Croisette pour faire partie intégrante du Festival de Cannes. C'est ainsi que de nombreuses stars américaines faisaient le déplacement sur le plateau, si proche du palais des festivals. Mais en 2013, c'est pour une affaire moins glamour que le Grand Journal fait parler de lui. En effet, en direct de l'émission, on peut voir le plateau évacué dans une débandade étonnante. "Il y a un mouvement de foule, il y a quelqu'un qui tire" évoque-t-on à l'antenne. Plus tard, lorsque le calme revient autour du plateau, Michel Denisot expliquera qu'un homme armé d'un pistolet d'alarme chargé à blanc et d'une grenade factice avait tiré et provoqué le mouvement de foule. Personne n'a été blessé dans cette histoire qui a, fort heureusement, fait plus de peur que de mal.
Le 3 mars, Le Grand Journal s'éteindra après douze années d'antenne sur Canal +. Cela méritait bien un retour sur ces moments qui nous ont marqués dans le programme d'access. Le Grand Journal s'est souvent déplacé sur la Croisette pour faire partie intégrante du Festival de Cannes. C'est ainsi que de nombreuses stars américaines faisaient le déplacement sur le plateau, si proche du palais des festivals. Mais en 2013, c'est pour une affaire moins glamour que le Grand Journal fait parler de lui. En effet, en direct de l'émission, on peut voir le plateau évacué dans une débandade étonnante. "Il y a un mouvement de foule, il y a quelqu'un qui tire" évoque-t-on à l'antenne. Plus tard, lorsque le calme revient autour du plateau, Michel Denisot expliquera qu'un homme armé d'un pistolet d'alarme chargé à blanc et d'une grenade factice avait tiré et provoqué le mouvement de foule. Personne n'a été blessé dans cette histoire qui a, fort heureusement, fait plus de peur que de mal.
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