Les Shadoks : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

La cosmopompe des shadoks dans la deuxième série du dessin animé en 1970. © Ina/Laszlo Ruszka

Autant décriés qu'acclamés, ces petites créatures ont divisé la France en deux : le pro pours et les anti. Ils font leur première apparition en avril 1968, quelques jours avant que la France ne s'embrase. Leur diffusion interrompue par la grève de mai, ils reviennent à la rentrée. 

Ils sont issus des studios de l'ORTF et plus particulièrement des stylos magiques de Jacques Rouxel, avec la voix de Claude Piéplu et la musique de Robert Cohen-Solal. C'est à eux qu'on doit l'expression absurde : "Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?"

Michel Drucker se souvient :

"Les formats courts font partie intégrante de l'évolution de la télévision."

Autant décriés qu'acclamés, ces petites créatures ont divisé la France en deux : le pro pours et les anti. Ils font leur première apparition en avril 1968, quelques jours avant que la France ne s'embrase. Leur diffusion interrompue par la grève de mai, ils reviennent à la rentrée.  Ils sont issus des studios de l'ORTF et plus particulièrement des stylos magiques de Jacques Rouxel, avec la voix de Claude Piéplu et la musique de Robert Cohen-Solal. C'est à eux qu'on doit l'expression absurde : "Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?"Michel Drucker se souvient : "Les formats courts font partie intégrante de l'évolution de la télévision."
© Ina/Laszlo Ruszka