Dans le cadre de la plainte liée au casting du remake de Ken Park, Morandini a expliqué aux enquêteurs que, pour lui, "la nudité" n'était pas "un tabou", tout en pointant du doigt la façon dont le plaignant avait raconté les faits, jugeant même le récit "surréaliste". Une défense reprise au premier jour de son procès en octobre 2022 : indiquant ne pas avoir de souvenir précis de cette rencontre de 2009, Jean-Marc Morandini a assuré que le déroulé décrit par son accusateur ne correspondait pas à son comportement. "Je ne reconnais aucun des mots utilisés par ce jeune homme. Je suis très respectueux", a-t-il déclaré.
© SIPA (publiée le 24/10/2022)