Quels secrets cache Laurence Boccolini ?

Quels secrets cache Laurence Boccolini ? D'apparence flingueuse, Laurence Boccolini, à la tête de Money Drop sur TF1, cache en réalité de nombreuses fêlures. De son combat pour avoir un enfant à sa douleur d'être critiquée en permanence, retour sur les secrets bien cachés de l'animatrice.

Tout le monde connaît Laurence Boccolini. Tous les soirs de la semaine, à 19 heures, elle anime le jeu Money Drop sur TF1 où des candidats font face à des trappes pour conserver leur argent. Si cette émission est l'une des plus regardées par les téléspectateurs à cet horaire, c'est sans doute grâce à la popularité de sa présentatrice. Née en 1963 à Versailles, elle acquit une grande renommée entre 2001 et 2007 grâce au Maillon Faible. Elle se créa alors un rôle de "méchante" en lançant des répliques acerbes et gardant un visage fermé tout le long du programme. Une image qui lui colle à la peau encore aujourd'hui. Mais, même si elle n'hésite pas à critiquer ses confrères et répondre aux attaques dont elle fait l'objet, Laurence Boccolini est en réalité très touchante, ayant elle aussi ses fêlures et ses zones d'ombre.

Laurence Boccolini a un caractère bien trempé et utilise souvent les réseaux sociaux pour faire part de ses opinions, aussi cash soient-elles. En 2011, elle s'en prenait à Charlotte Le Bon, alors miss météo du Grand Journal de Canal+, dans Télé Cable Sat. "Lorsque c'est Charlotte Le Bon qui laisse (très très souvent) le public de Canal+ absolument anéanti par la platitude de ses interventions, alors on peut entendre : 'C'est vraiment un canon cette fille!' Charlotte Le Bon peut donc remercier chaque soir ses parents. Son ADN la sauve quotidiennement du licenciement pour 'escroquerie à l'humour". Mais cette apparente sévérité cache des blessures plus profondes : en 2003, l'animatrice apprenait qu'elle ne pouvait pas avoir d'enfants, à son plus grand désarroi. "En quinze minutes on m'a dit : "Madame, vous êtes trop vieille. La fécon­da­tion in vitro, il y a 2% de chances que ça marche. Voilà le dossier pour l'adop­tion et voilà l'adresse de la clinique à Barce­lone pour le don d'ovocytes ". J'ai pleuré deux heures sans m'arrê­ter !", confiait-elle à Gala en 2007. Un combat contre le temps qu'elle remportera finalement en 2013.