Engagée avec les Gilets jaunes

© ISOPIX/SIPA
Corinne Masiero a défilé auprès des Gilets jaunes plusieurs fois, comme elle l'a expliqué au Parisien en janvier dernier : "Comment peut-on respecter un système qui accorde des privilèges à des gens déjà ultra-privilégiés ? Un système qui punit les pauvres en prenant des arrêtés anti-mendicité, qui laisse dans la merde des travailleurs qui gagnent 450 euros par mois, qui diminue le budget de la santé et de l'éducation… ? ".
Le 8 mars 2019, Corinne Masiero fait partie du cortège de femmes au cours du 17e week-end de mobilisation des Gilets jaunes, à Lille. Interrogée sur sa présence, elle est revenue sur ses convictions : "On est censés être dans une démocratie, donc il faut ouvrir sa gueule. Faut faire respecter ses droits. Tous les droits qui ont été acquis de dures luttes ils commencent à se casser la gueule. 2003, 2013 et maintenant 2019, ça va, c'est bon. Les infirmiers c'est pareil, dans tous les secteurs c'est comme ça, le service public il se fait avoir. Y en a marre de se faire vendre à des actionnaires avec un mec qui est là qui dit 'oui je vous écoute le peuple' mon cul ouais." Auparavant
Corinne Masiero a défilé auprès des Gilets jaunes plusieurs fois, comme elle l'a expliqué au Parisien en janvier dernier : "Comment peut-on respecter un système qui accorde des privilèges à des gens déjà ultra-privilégiés ? Un système qui punit les pauvres en prenant des arrêtés anti-mendicité, qui laisse dans la merde des travailleurs qui gagnent 450 euros par mois, qui diminue le budget de la santé et de l'éducation… ? ". Le 8 mars 2019, Corinne Masiero fait partie du cortège de femmes au cours du 17e week-end de mobilisation des Gilets jaunes, à Lille. Interrogée sur sa présence, elle est revenue sur ses convictions : "On est censés être dans une démocratie, donc il faut ouvrir sa gueule. Faut faire respecter ses droits. Tous les droits qui ont été acquis de dures luttes ils commencent à se casser la gueule. 2003, 2013 et maintenant 2019, ça va, c'est bon. Les infirmiers c'est pareil, dans tous les secteurs c'est comme ça, le service public il se fait avoir. Y en a marre de se faire vendre à des actionnaires avec un mec qui est là qui dit 'oui je vous écoute le peuple' mon cul ouais." Auparavant
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