Soupçonné puis blanchi

Au lendemain de l'attentat de l'Observatoire, l'un des tireurs, Robert Pesquet, passe aux aveux et affirme avoir été mandaté par Mitterrand lui-même. Le "faux attentat" aurait été pour lui une manière de regagner les faveurs de l'opinion publique. Ecroué, Mitterrand bénéficiera finalement d'un non-lieu. Ici, il répond aux questions des journalistes en sortant du bureau du juge Braunschweig.
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