Essai de la Mercedes SLK : le roadster presque parfait Le moteur d'entrée de gamme du SLK

s'il n'a évidement pas le chant d'un v6, ce 4 cylindres 1,8l est plaisant à
S'il n'a évidement pas le chant d'un V6, ce 4 cylindres 1,8L est plaisant à l'usage. © Nicolas Le Boucher / L'Internaute Magazine

Le plus petit moteur disponible sous le capot de la Mercedes SLK affiche 184 chevaux. Une puissance suffisante pour afficher des performances plus qu'honorables malgré les 1 435 kilos de l'auto. Avec la boîte 7G Tronic, le 0 à 100 km/h est abattu en 7 secondes (7,3 secondes en boîte manuelle) tandis que la vitesse de pointe est de 240 km/h.

Le bloc 4 cylindres essence de la SLK 200 est un 1.8L turbocompressé à injection directe développant 184 chevaux à 5 250 tr/min. Il peut être associé à une boîte manuelle 6 rapports ou à la boîte automatique 7G-Tronic en option (2 400 euros). Doté de la technologie BlueEFFICIENCY, il est associé au Start&Stop en série. Il émet 142 grammes de CO² au kilomètre. Ses consommations sont une bonne surprise : 9,2L / 100 km en moyenne lors de notre essai (le constructeur annonce 6,1L / 100 km). Ce rapport performances / consommations est très alléchant.