Boudé par les policiers, applaudi par la DGSE

© BENAROCH/SIPA
Lorsqu'il présente son film "La Haine" à Cannes en 1995, l'accueil est particulièrement contrasté. Les policiers ont considéré que ce long-métrage était "une véritable diatribe anti-flics". Ainsi, les forces de l'ordre ont tourné le dos à l'équipe du film lors de la montée des marches. 
Parallèlement depuis 2015, Mathieu Kassovitz incarne le héros de la série d'espionnage de Canal+ "Le Bureau des légendes", s'intéressant au travail des services secrets français. Il a été salué par les agents de la DGSE (Direction générale de la Sécurité extérieure) et l'acteur leur a exprimé une admiration mutuelle :"Quand des gens aussi hauts-placés (...) vous disent : 'merci, pour la première fois j'ai pu parler à mon fils de mon métier' ça a été très touchant. Que la série leur serve de référence pour tout ce qu'ils ne peuvent pas dire à leurs proches, je trouve ça vachement bien. C'est qu'on a fait du bon travail."
Lorsqu'il présente son film "La Haine" à Cannes en 1995, l'accueil est particulièrement contrasté. Les policiers ont considéré que ce long-métrage était "une véritable diatribe anti-flics". Ainsi, les forces de l'ordre ont tourné le dos à l'équipe du film lors de la montée des marches.  Parallèlement depuis 2015, Mathieu Kassovitz incarne le héros de la série d'espionnage de Canal+ "Le Bureau des légendes", s'intéressant au travail des services secrets français. Il a été salué par les agents de la DGSE (Direction générale de la Sécurité extérieure) et l'acteur leur a exprimé une admiration mutuelle :"Quand des gens aussi hauts-placés (...) vous disent : 'merci, pour la première fois j'ai pu parler à mon fils de mon métier' ça a été très touchant. Que la série leur serve de référence pour tout ce qu'ils ne peuvent pas dire à leurs proches, je trouve ça vachement bien. C'est qu'on a fait du bon travail."
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