Van Dyck au Musée Jacquemart-André à Paris

Van Dyck, "Portrait de Maria de Tassis (1611-1638)", Vienne, Liechtenstein Museum © Sammlungen des Fürsten von und zu Liechtenstein, Vaduz, Vienne

Van Dyck portraitiste pour la première fois en France

L'occasion de redécouvrir la carrière et la vie de ce peintre que l'on considère encore aujourd'hui comme le plus grand portraitiste de l'art européen. Enfant prodige de la peinture, né en 1599 à Anvers, Antoon Van Dyck fait ses débuts aux côtés de Rubens, dont l'influence, ainsi que celle des maîtres vénitiens, sera déterminante sur sa carrière. Une influence qui le pousse à rompre avec l'hiératisme et l'austérité propres aux portraits flamands d'alors. Appelé par le roi Charles Ier d'Angleterre en 1632, Van Dyck devient alors le portraitiste de la famille royale et de la cour, livrant des portraits d'apparat où la grandeur et le port aristocratique de ses modèles sont contrebalancés par une habile théâtralisation.

 
Van Dyck portraitiste pour la première fois en France L'occasion de redécouvrir la carrière et la vie de ce peintre que l'on considère encore aujourd'hui comme le plus grand portraitiste de l'art européen. Enfant prodige de la peinture, né en 1599 à Anvers, Antoon Van Dyck fait ses débuts aux côtés de Rubens, dont l'influence, ainsi que celle des maîtres vénitiens, sera déterminante sur sa carrière. Une influence qui le pousse à rompre avec l'hiératisme et l'austérité propres aux portraits flamands d'alors. Appelé par le roi Charles Ier d'Angleterre en 1632, Van Dyck devient alors le portraitiste de la famille royale et de la cour, livrant des portraits d'apparat où la grandeur et le port aristocratique de ses modèles sont contrebalancés par une habile théâtralisation.  
© Sammlungen des Fürsten von und zu Liechtenstein, Vaduz, Vienne