Saint-Barthélémy, le massacre, 24 août 1572

Église Saint-Gervais-Saint-Protais (Paris) © 123RF/Andrey Andronov
Pour les noces de Marguerite de Valois, soeur du roi, avec le futur Henri IV, les protestants sont montés à Paris. Leur chef, l'amiral Coligny, échappe à un assassinat. L'entourage catholique du roi veut prendre de court le parti protestant, qui va sûrement se venger. L'occasion de le décapiter. Aussi, au signal de la cloche de l'église Saint-Gervais, le massacre commence. Le peuple parisien s'y met aussi, poussé par les jalousies ou le préjugé de richesse : 3000 "hérétiques" sont lardés, égorgés, violés, émasculés, noyés. Une vingtaine de villes emboîtent le pas, faisant près de 10 000 morts.
Pour les noces de Marguerite de Valois, soeur du roi, avec le futur Henri IV, les protestants sont montés à Paris. Leur chef, l'amiral Coligny, échappe à un assassinat. L'entourage catholique du roi veut prendre de court le parti protestant, qui va sûrement se venger. L'occasion de le décapiter. Aussi, au signal de la cloche de l'église Saint-Gervais, le massacre commence. Le peuple parisien s'y met aussi, poussé par les jalousies ou le préjugé de richesse : 3000 "hérétiques" sont lardés, égorgés, violés, émasculés, noyés. Une vingtaine de villes emboîtent le pas, faisant près de 10 000 morts.
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