Quand les entraîneurs dérapent

Naviguez au clavier

Précédent Suivant
Coups de sang, colères et pétages de plombs
Raymond Domenech joue la provocation devant les journalistes. © L'Internaute Magazine

Dérapages verbaux, coups de sang... Les entraîneurs et sélectionneurs pètent parfois les plombs. La preuve avec ces 20 exemples.

Domenech et "l'odeur du sang"

L'ex-sélectionneur de l'équipe de France de football est un habitué des phrases provocatrices. En six ans d'exercice, il a souvent créé la polémique. Parfois même de manière volontaire. Ce fut le cas lors de la conférence de presse avant France-Serbie le 9 septembre 2008. Mal embarqués dans les qualifications pour la Coupe du monde 2010, les Bleus se doivent de faire un résultat.

La rumeur circule qu'en cas de défaite, Raymond Domenech sera licencié. Un bruit qui n'est pas démenti par la FFF. Alors, quand le sélectionneur arrive devant les journalistes, l'atmosphère est tendue. Fidèle à son style provocateur, il attaque d'entrée : "Il y a du monde aujourd'hui. Ah oui, c'est vrai que l'odeur du sang vous intéresse. Je suis bien parti là, hein ?"

Se sentant condamné par les journalistes, il continue dans le même registre : "Je suis vraiment heureux d'un truc : c'est que les lois d'exception et la guillotine n'existent plus. Sinon, j'en vois quelques-uns, ici, qui se feraient un malin plaisir de m'envoyer sur l'échafaud. Mais bon, je n'ai tué personne. Peut-être que j'aurais été mieux traité si j'avais tué quelqu'un".

Dérapages verbaux, coups de sang... Les entraîneurs et sélectionneurs pètent parfois les plombs. La preuve avec ces 20 exemples.Domenech et "l'odeur du sang" L'ex-sélectionneur de l'équipe de France de football est un habitué des phrases provocatrices. En six ans d'exercice, il a souvent créé la polémique. Parfois même de manière volontaire. Ce fut le cas lors de la conférence de presse avant France-Serbie le 9 septembre 2008. Mal embarqués dans les qualifications pour la Coupe du monde 2010, les Bleus se doivent de faire un résultat. La rumeur circule qu'en cas de défaite, Raymond Domenech sera licencié. Un bruit qui n'est pas démenti par la FFF. Alors, quand le sélectionneur arrive devant les journalistes, l'atmosphère est tendue. Fidèle à son style provocateur, il attaque d'entrée : "Il y a du monde aujourd'hui. Ah oui, c'est vrai que l'odeur du sang vous intéresse. Je suis bien parti là, hein ?" Se sentant condamné par les journalistes, il continue dans le même registre : "Je suis vraiment heureux d'un truc : c'est que les lois d'exception et la guillotine n'existent plus. Sinon, j'en vois quelques-uns, ici, qui se feraient un malin plaisir de m'envoyer sur l'échafaud. Mais bon, je n'ai tué personne. Peut-être que j'aurais été mieux traité si j'avais tué quelqu'un".
© L'Internaute Magazine