Une seule enseignante a dénoncé les violences exercées à Bétharram

© Mael Garnier/SIPA (publiée le 19/02/2025)
Une seule personne issue du corps enseignants a témoigné contre les violences exercées à Bétharram : Françoise Gullung qui a travaillé dans l'établissement entre 1994 et 1996. "On voyait des collégiens dans un état d'épuisement étrange. On savait qu'il y avait des violences physiques, et le bruit courrait qu'il y avait des abus sexuels, mais pas d'éléments suffisants", raconte-t-elle à France 3. "J'ai réagi quand deux enfants ont été laissés par moins cinq degrés dehors en slip sur le perron", ajoute-t-elle, mais sa réaction lui a valu des représailles : "La direction a réuni les enseignants en nous menaçant de prendre la porte si on disait quoique ce soit. J'ai été menacée, blessée, ma voiture a été vandalisée".
Une seule personne issue du corps enseignants a témoigné contre les violences exercées à Bétharram : Françoise Gullung qui a travaillé dans l'établissement entre 1994 et 1996. "On voyait des collégiens dans un état d'épuisement étrange. On savait qu'il y avait des violences physiques, et le bruit courrait qu'il y avait des abus sexuels, mais pas d'éléments suffisants", raconte-t-elle à France 3. "J'ai réagi quand deux enfants ont été laissés par moins cinq degrés dehors en slip sur le perron", ajoute-t-elle, mais sa réaction lui a valu des représailles : "La direction a réuni les enseignants en nous menaçant de prendre la porte si on disait quoique ce soit. J'ai été menacée, blessée, ma voiture a été vandalisée".
© Mael Garnier/SIPA (publiée le 19/02/2025)