Les effrayants missiles nucléaires russes : stratégique ou tactique ? La guerre des genres

© SIPA
Parmi les milliers d'ogives nucléaires russes, il faut différencier les missiles à moyenne portée et dotés d'une puissance moins importante, comme c'est le cas des Iskander (voir plus loin), des missiles intercontinentaux stratégiques lancés à partir de silos, ou de sous-marins. Comme les premiers peuvent être utilisés sur des lanceurs qui peuvent aussi porter des missiles conventionnels, cela entretient le flou sur le nombre réel de missiles nucléaires exploitables, ainsi que leur catégorie.  Il n'est pas toujours évident de savoir ce qui se loge dans des tubes transportés sur des tracteurs via des images satellites. Dans tous les cas, même avec une faible quantité de missiles nucléaires, leur utilisation serait apocalyptique...
Parmi les milliers d'ogives nucléaires russes, il faut différencier les missiles à moyenne portée et dotés d'une puissance moins importante, comme c'est le cas des Iskander (voir plus loin), des missiles intercontinentaux stratégiques lancés à partir de silos, ou de sous-marins. Comme les premiers peuvent être utilisés sur des lanceurs qui peuvent aussi porter des missiles conventionnels, cela entretient le flou sur le nombre réel de missiles nucléaires exploitables, ainsi que leur catégorie.  Il n'est pas toujours évident de savoir ce qui se loge dans des tubes transportés sur des tracteurs via des images satellites. Dans tous les cas, même avec une faible quantité de missiles nucléaires, leur utilisation serait apocalyptique...
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