Valérie Trierweiler compare ses faux pas à ceux de Michelle Obama
"Si vous pensiez que le plus gros problème pour Valérie Trierweiler était de prendre la succession de Carla Bruni comme première dame de France, vous vous trompiez". Voilà l'accroche de l'article consacré par le Sunday Times à la compagne de François Hollande. Dans un papier intitulé non pas "The first lady" (la première dame) mais "The feisty lady", c'est-à-dire la fougueuse, voire la bagarreuse en français, le média britannique dépeint Valérie Trierweiler aux lecteurs outre-Manche. Au Sunday Times, la journaliste s'est confiée, de sa lutte pour préserver sa vie privée au cadeau qu'elle a choisi pour Kate et William (un coffret d'une marque de luxe française), clin d'œil britannique oblige. Sans oublier sa peur de devenir première dame, tandis que "tout le monde vous observe, vous juge".
Ce qu'on apprend dans cette interview, une première pour Valérie Trierweiler face à un journaliste britannique, c'est que la première dame française a pris conseil auprès de son "homologue" américaine. "Michelle Obama m'a dit qu'il lui a fallu un an pour s'installer dans son rôle de première dame." Les deux femmes ont notamment conversé ensemble en mai 2012, lors du premier voyage officiel du président français aux Etats-Unis. Et la compagne de François Hollande d'expliquer qu'elle n'est pas la seule à avoir commis des impairs : Michelle Obama "a également fait quelques faux pas au début", selon elle.
EN VIDEO - En mai 2012, François Hollande a été reçu par Barack Obama à la Maison blanche.