Elle était membre du groupe d'amitié France-Russie

Marion Maréchal à l'Assemblée nationale le 5 octobre 2016. © BOHAC YANN / SIPA
Marine Le Pen n'est pas la seule à défendre vigoureusement la Russie de Poutine. Membre du groupe d'amitié France-Russie au cours de son passage à l'Assemblée en 2012-2017, sa nièce Marion Maréchal interpelle entre autres Jean Pierre Chevènement sur la "russophobie d'une partie de la classe journalistique française" lors d'une commission des affaires étrangères. Elle dénonce aussi la non-livraison des frégates Mistral (après la crise de Crimée et la guerre du Donbass) ou encore les sanctions commerciales imposées au plus grand pays du monde. Sans oublier de reprocher au gouvernement la méconnaissance du "passé fraternel de la France et de la Russie", ce qui, selon Slate, lui attire "des murmures approbateurs sur les bancs de certains députés LR".
Marine Le Pen n'est pas la seule à défendre vigoureusement la Russie de Poutine. Membre du groupe d'amitié France-Russie au cours de son passage à l'Assemblée en 2012-2017, sa nièce Marion Maréchal interpelle entre autres Jean Pierre Chevènement sur la "russophobie d'une partie de la classe journalistique française" lors d'une commission des affaires étrangères. Elle dénonce aussi la non-livraison des frégates Mistral (après la crise de Crimée et la guerre du Donbass) ou encore les sanctions commerciales imposées au plus grand pays du monde. Sans oublier de reprocher au gouvernement la méconnaissance du "passé fraternel de la France et de la Russie", ce qui, selon Slate, lui attire "des murmures approbateurs sur les bancs de certains députés LR".
© BOHAC YANN / SIPA