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Bien d'autres socialistes sont cités dans l'équipe de François Hollande. Parmi eux :

- Daniel Vaillant, mandataire de la campagne

- Laurianne Deniaud, chargée des jeunes

- Jean-Jacques Augier, chargé du financement

- Marisol Touraine, chargée du Social et de la Santé :

- Alain Rousset, Industrie, Agriculture Pêche

- Catherine Trautmann, Europe 

- Marie-Hélène Aubert, Environnement 

- Jérome Cahuzac ,Budget, Finances 

- Victorin Lurel, Outre-Mer

- Claudine Lepage, Français de l'étranger

- Alain Vidalies, Travail, emploi

- Marie-Arlette Carlotti, Egalité hommes-femmes :

- Manuelle Le Cioree, Immigration

- Jean-Yves Le Drain, Défense

Une autre équipe, plus secrète

Leurs noms ne figurent pas, en revanche, dans l'équipe de campagne de Pierre Moscovici. Et pour cause : pour la plupart, ils ne sont pas politiques, mais professionnels de la communication, des études d'opinion, de l'événementiel ou de la logistique... Comme tout bon candidat, François Hollande a aussi su s'entourer d'experts qui travaillent et travailleront peut-être encore dans l'ombre pour sa victoire en 2012.

Dans leur livre "Élysée 2012 : Les Hommes de l'ombre", Élisabeth Chavelet et Mariana Grépinet citent par exemple parmi les proches collaborateurs de François Hollande son assistant parlementaire, Jules Boyadijian, ou encore Frédéric Montheil, assistant du sénateur René Teulade, qui se charge depuis plusieurs mois de la logistique, la mise à disposition de camions, de la sonorisation et des décors indispensables aux meetings et déplacements du candidat. Sont aussi mentionnés Thierry Lajoie, ex directeur de cabinet de Laurent Fabius et beaucoup d'anciens du staff de Ségolène Royal en 2007 comme Ariane Vincent, dans l'équipe chargée du Web.


Chez les pros, Robert Zarader, patron de l'agence de communication Equancy & Co, travaille "en bénévole" pour François Hollande. Le politologue Gérard Le Gall est son "monsieur sondages". Isabelle Sima, une amie de jeunesse corrézienne, est trésorière de "Démocratie 2012", association de financement de la campagne. La profusion de l'équipe et la multiplication des strates serait volontairement maintenue par François Hollande, qui souhaite maitriser sa campagne sans la confier à une poignée de décideurs.

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