L'humiliation par Ségolène Royal

Ségolène Royal © Montage, L'Internaute Magazine

12 septembre 2006

Débat à Quimperlé


12 septembre 2006. Primaires du PS. Depuis plusieurs jours, les positions de Ségolène Royal, notamment l'encadrement militaire pour les délinquants, laissent perplexes les militants de gauche. Lors d'un débat en Bretagne avec des jeunes socialistes, la candidate laisse percer une pointe d'agacement face à une étudiante qui évoque le clivage droite-gauche. "La carte scolaire, je crois que c'est une vision de gauche que j'ai développée. Les 35 heures, j'ai répondu, alors quelles sont les autres questions ?" L'étudiante hésite. "Tu es sûre que tu ne voulais pas me parler des militaires ? (Rires dans l'assemblée) Tu es bien sûre ? Tu n'es pas obligée de demander l'autorisation au garçon qui est à coté de toi." "L'humiliation" de Nolwenn, c'est son nom, fera le tour des médias. Le lendemain, face à la pression médiatique, Ségolène Royal appellera la jeune militante pour lui présenter ses excuses.

12 septembre 2006 Débat à Quimperlé 12 septembre 2006. Primaires du PS. Depuis plusieurs jours, les positions de Ségolène Royal, notamment l'encadrement militaire pour les délinquants, laissent perplexes les militants de gauche. Lors d'un débat en Bretagne avec des jeunes socialistes, la candidate laisse percer une pointe d'agacement face à une étudiante qui évoque le clivage droite-gauche. "La carte scolaire, je crois que c'est une vision de gauche que j'ai développée. Les 35 heures, j'ai répondu, alors quelles sont les autres questions ?" L'étudiante hésite. "Tu es sûre que tu ne voulais pas me parler des militaires ? (Rires dans l'assemblée) Tu es bien sûre ? Tu n'es pas obligée de demander l'autorisation au garçon qui est à coté de toi." "L'humiliation" de Nolwenn, c'est son nom, fera le tour des médias. Le lendemain, face à la pression médiatique, Ségolène Royal appellera la jeune militante pour lui présenter ses excuses.
© Montage, L'Internaute Magazine