Yves Jégo : élu

Yves Jégo, tête de liste en Seine-et-Marne © Benoît Deshayes, L'Internaute Magazine

L'ex-Secrétaire d'État à l'Outre-mer, maire de Montereau-Fault-Yonne depuis 1995 et député de Seine-et-Marne depuis 2002, a été battu mais élu conseiller régional à l'issue de ce scrutin.

Le contexte avant le scrutin (04/02/2010)

Il voulait au départ mener la liste régionale de l'UMP. Face à Roger Karoutchi et surtout Valérie Pécresse, il a su de contenter de la Seine-et-Marne. Pour ces régionales, Yves Jégo défendra donc la liste de de l'UMP dans un département qu'il connait bien. 

Il y a 6 ans, le département, défendu pour l'UMP par Jean-François Copé lui-même, avait essuyé un revers en amassant 38,11 % des voix au second tour. Presque 10 points d'écart avec la liste PS (47,32 %) emmenée alors par Jean-Paul Planchou. En 2009, les résultats de la liste UMP aux européennes semblent corriger le tir en atteignant presque 30 % des suffrages, loin devant ses concurrents. Pour ce scrutin régional de mars 2010, l'union affichée de la droite pourrait donc bien renverser la vapeur dès le premier tour. Revers de la médaille pour Yves Jégo : s'il est élu au conseil régional, il devra abandonner l'un de ses deux mandats en cours.

L'ex-Secrétaire d'État à l'Outre-mer, maire de Montereau-Fault-Yonne depuis 1995 et député de Seine-et-Marne depuis 2002, a été battu mais élu conseiller régional à l'issue de ce scrutin.Le contexte avant le scrutin (04/02/2010) Il voulait au départ mener la liste régionale de l'UMP. Face à Roger Karoutchi et surtout Valérie Pécresse, il a su de contenter de la Seine-et-Marne. Pour ces régionales, Yves Jégo défendra donc la liste de de l'UMP dans un département qu'il connait bien.  Il y a 6 ans, le département, défendu pour l'UMP par Jean-François Copé lui-même, avait essuyé un revers en amassant 38,11 % des voix au second tour. Presque 10 points d'écart avec la liste PS (47,32 %) emmenée alors par Jean-Paul Planchou. En 2009, les résultats de la liste UMP aux européennes semblent corriger le tir en atteignant presque 30 % des suffrages, loin devant ses concurrents. Pour ce scrutin régional de mars 2010, l'union affichée de la droite pourrait donc bien renverser la vapeur dès le premier tour. Revers de la médaille pour Yves Jégo : s'il est élu au conseil régional, il devra abandonner l'un de ses deux mandats en cours.
© Benoît Deshayes, L'Internaute Magazine