Nicolas Sarkozy et son divorce "financé par un émir du Qatar"

L'ex-Président Nicolas Sarkozy. © ISA HARSIN/SIPA
En 2012, une rumeur détonante est relayée dans Le Monde : "En 2008, des dirigeants du Golf non-qataris affirment devant des diplomates de l'ONU que Doha a 'payé le divorce' du chef de l'Etat avec Cécilia, ajoutant, goguenards, qu''elle n'a pas coûté cher' (…) L'Elysée balaie en bloc ces 'sornettes'". En septembre 2014, 7 ans après la fin de l'histoire entre Nicolas Sarkozy et Cécilia Sarkozy, un récit semblable paraît dans l'ouvrage "Une France sous influence", de Pierre Péan et Vanessa Ratignier. Ils écrivent qu'en 2008, l'émir de Doha raconte à l'ex-activiste libanais Anis Naccache que le président français a pleuré sur son épaule : "il m'a raconté que sa femme Cécilia lui demandait 3 millions d'euros pour divorcer. C'est moi qui ai payé." Là encore, Nicolas Sarkozy démentira les affirmations.
En 2012, une rumeur détonante est relayée dans Le Monde : "En 2008, des dirigeants du Golf non-qataris affirment devant des diplomates de l'ONU que Doha a 'payé le divorce' du chef de l'Etat avec Cécilia, ajoutant, goguenards, qu''elle n'a pas coûté cher' (…) L'Elysée balaie en bloc ces 'sornettes'". En septembre 2014, 7 ans après la fin de l'histoire entre Nicolas Sarkozy et Cécilia Sarkozy, un récit semblable paraît dans l'ouvrage "Une France sous influence", de Pierre Péan et Vanessa Ratignier. Ils écrivent qu'en 2008, l'émir de Doha raconte à l'ex-activiste libanais Anis Naccache que le président français a pleuré sur son épaule : "il m'a raconté que sa femme Cécilia lui demandait 3 millions d'euros pour divorcer. C'est moi qui ai payé." Là encore, Nicolas Sarkozy démentira les affirmations.
© ISA HARSIN/SIPA