"Il faut un hara-kiri" du Parti socialiste

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Venant d'un ancien premier secrétaire du Parti socialiste, l'idée d'une mise à mort de l'appareil politique qui l'a porté à l'Elysée peut apparaître déroutante. Pourtant, François Hollande considère que l'avenir de la gauche passe par un "acte de liquidation" du Parti socialiste, trop divisé. "Il faut un hara-kiri" dit-il. Le président penserait à rebaptiser le mouvement issu de ses cendres "le Parti du progrès". En octobre 2014, Manuel Valls se disait favorable à un nouveau nom et imaginait "une maison commune de toutes les forces progressistes".
Venant d'un ancien premier secrétaire du Parti socialiste, l'idée d'une mise à mort de l'appareil politique qui l'a porté à l'Elysée peut apparaître déroutante. Pourtant, François Hollande considère que l'avenir de la gauche passe par un "acte de liquidation" du Parti socialiste, trop divisé. "Il faut un hara-kiri" dit-il. Le président penserait à rebaptiser le mouvement issu de ses cendres "le Parti du progrès". En octobre 2014, Manuel Valls se disait favorable à un nouveau nom et imaginait "une maison commune de toutes les forces progressistes".