Il se voit comme un "sujet de thèse pour un psy"

"J'ai une immense énergie et une immense vulnérabilité." © Bertrand GUAY / AFP
A 19 ans, le suicide de son frère aîné, trois ans après la mort de son père, semble avoir donné à Nicolas Hulot une envie de vivre (et de sortir des sentiers battus) supérieure à la moyenne. Un jour il a lancé à un très proche : "Je crois qu'à moi tout seul je suis un sujet de thèse pour un psy." rapporte la biographie "Sain Nicolas" (Ed. du Moment), de la journaliste d'Europe 1 Bérengère Bonte. Qui cite ces propos de l'écolo star : "Sans faire de psychologie de bas étage, tous ces événements ont nourri en moi une soif de vivre et, en même temps, angoisse et inquiétude. Solidité et vulnérabilité. J'ai, depuis, la soif de ne jamais ajourner d'être heureux. Ne pas remettre. L'impatience me caractérise. C'est ce qui crée des zones de fragilité chez moi. (...) j'ai une immense énergie et une immense vulnérabilité."
A 19 ans, le suicide de son frère aîné, trois ans après la mort de son père, semble avoir donné à Nicolas Hulot une envie de vivre (et de sortir des sentiers battus) supérieure à la moyenne. Un jour il a lancé à un très proche : "Je crois qu'à moi tout seul je suis un sujet de thèse pour un psy." rapporte la biographie "Sain Nicolas" (Ed. du Moment), de la journaliste d'Europe 1 Bérengère Bonte. Qui cite ces propos de l'écolo star : "Sans faire de psychologie de bas étage, tous ces événements ont nourri en moi une soif de vivre et, en même temps, angoisse et inquiétude. Solidité et vulnérabilité. J'ai, depuis, la soif de ne jamais ajourner d'être heureux. Ne pas remettre. L'impatience me caractérise. C'est ce qui crée des zones de fragilité chez moi. (...) j'ai une immense énergie et une immense vulnérabilité."
© Bertrand GUAY / AFP