"Elle a dû se shooter au Maxiton"... Jean-Marie Le Pen atterré par le débat avec Macron

Marine Le Pen sur le plateau de France 2 lors du débat du second tour de la présidentielle face à Emmanuel Macron, le 3 mai 2017. © HAMUSSY / SIPA
Jean-Marie Le Pen a analysé le fiasco du débat du second tour de la présidentielle 2017, qui avait opposé sa fille à Emmanuel Macron, comme le résultat d'une faute stratégique.

Il considérait qu'au lieu de sa "campagne marathon dans les villes moyennes" elle aurait dû s'en tenir à "six grands meetings", ce qui lui aurait épargné beaucoup de fatigue, tout en lui donnant plus de visibilité médiatique. "Avec cela elle arrive au débat crevée mais remontée à l'excès. Elle a dû se shooter au Maxiton, à un euphorisant quelconque. Première erreur. Elle aurait dû paraître thatchérienne, souveraine. Et puis il y a l'erreur de ses conseillers : Macron a dit qu'il quitterait le plateau si tu exagérais, exagère, il va partir. C'était un gros piège, Macron est resté calme et Marine a eu l'air d'une excitée".
Jean-Marie Le Pen a analysé le fiasco du débat du second tour de la présidentielle 2017, qui avait opposé sa fille à Emmanuel Macron, comme le résultat d'une faute stratégique. Il considérait qu'au lieu de sa "campagne marathon dans les villes moyennes" elle aurait dû s'en tenir à "six grands meetings", ce qui lui aurait épargné beaucoup de fatigue, tout en lui donnant plus de visibilité médiatique. "Avec cela elle arrive au débat crevée mais remontée à l'excès. Elle a dû se shooter au Maxiton, à un euphorisant quelconque. Première erreur. Elle aurait dû paraître thatchérienne, souveraine. Et puis il y a l'erreur de ses conseillers : Macron a dit qu'il quitterait le plateau si tu exagérais, exagère, il va partir. C'était un gros piège, Macron est resté calme et Marine a eu l'air d'une excitée".
© HAMUSSY / SIPA