Jean-Marie Le Pen et le FN : "J'aurai été le tribun d'un peuple martyrisé"

Manifestation en faveur du candidat Le Pen, qualifié pour la première fois au 1er tour de la présidentielle, le 1er mai 2002 à Paris. © TRANSPARENT / SIPA
Sur la quatrième de couverture de son second ouvrage de souvenirs, Jean-Marie Le Pen mettait en avant le récit de "l'aventure exaltante du Front national, si généralement et si bassement calomnié".

"Quarante ans d'histoire de France, de lutte implacable" : voilà comment Le Pen décrivait l'aventure FN à la fin de sa vie. Il poursuivait, sur une tonalité grandiloquente, comme le rapportait alors Marianne via la publication de cet extrait : "J'ai échoué à prendre le pouvoir, mais j'aurai fait ce qu'il fallait faire, vu ce qu'il fallait voir, dit ce qu'il fallait dire. À temps. J'aurai été le tribun d'un peuple martyrisé".
Sur la quatrième de couverture de son second ouvrage de souvenirs, Jean-Marie Le Pen mettait en avant le récit de "l'aventure exaltante du Front national, si généralement et si bassement calomnié". "Quarante ans d'histoire de France, de lutte implacable" : voilà comment Le Pen décrivait l'aventure FN à la fin de sa vie. Il poursuivait, sur une tonalité grandiloquente, comme le rapportait alors Marianne via la publication de cet extrait : "J'ai échoué à prendre le pouvoir, mais j'aurai fait ce qu'il fallait faire, vu ce qu'il fallait voir, dit ce qu'il fallait dire. À temps. J'aurai été le tribun d'un peuple martyrisé".
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