Une pension alimentaire "un peu fort de café" pour Jean-Marie Le Pen

Pierrette Le Pen chez elle, en juin 1987. © CHANCE / SIPA
Le divorce a ensuite été prononcé "aux torts de Pierrette", détaillait Jean-Marie Le Pen dans ses mémoires, pour qui "c'était la moindre des choses". 

Elle avait eu "le culot", selon les termes de l'auteur, de réclamer une pension alimentaire. "Je trouvais cela un peu fort de café. Elle avait de quoi vivre, les appartements de sa mère rue du Cirque, qu'elle a mangés avec son Moulard [le nom donné à l'amant de son ex-épouse par Jean-Marie Le Pen - NDLR]". Un épisode dur à avaler pour le fondateur du FN, qui dit l'avoir pour autant moins mal vécu que ses filles, notamment Marine Le Pen, la petite dernière, à peine âgée de 16 ans à l'époque. Et s'il a été "surpris, blessé", il niait tout chagrin d'amour : "Il se trouve que, quand on me quitte, je n'aime plus".
Le divorce a ensuite été prononcé "aux torts de Pierrette", détaillait Jean-Marie Le Pen dans ses mémoires, pour qui "c'était la moindre des choses".  Elle avait eu "le culot", selon les termes de l'auteur, de réclamer une pension alimentaire. "Je trouvais cela un peu fort de café. Elle avait de quoi vivre, les appartements de sa mère rue du Cirque, qu'elle a mangés avec son Moulard [le nom donné à l'amant de son ex-épouse par Jean-Marie Le Pen - NDLR]". Un épisode dur à avaler pour le fondateur du FN, qui dit l'avoir pour autant moins mal vécu que ses filles, notamment Marine Le Pen, la petite dernière, à peine âgée de 16 ans à l'époque. Et s'il a été "surpris, blessé", il niait tout chagrin d'amour : "Il se trouve que, quand on me quitte, je n'aime plus".
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