Juin 2017 : son attaque de la presse bis

La ministre du Travail Muriel Pénicaud le 5 avril 2019 à Puteaux. © HARSIN ISABELLE / SIPA
Après la publication par le journal Libération d'informations qualifiées de pistes de la future réforme du Code du travail, la ministre chargée de ce portefeuille, Muriel Pénicaud, avait annoncé son intention de porter plainte. Alors porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner déclarait dans la foulée : "Je fais confiance à [la liberté de la presse] parce qu'elle est fondamentale. Mais elle vous oblige aussi, vous les journalistes, dans le contrôle de vos sources, dans l'anticipation des conséquences de la dénonciation de tel ou tel fait". Le 28 juin 2017, le macroniste du premier cercle volait également au secours de Muriel Pénicaux, visée par une enquête en tant qu'ancienne responsable de Business France. Il avait demandé à la presse de "ne pas chercher à affaiblir" sa consoeur.
Après la publication par le journal Libération d'informations qualifiées de pistes de la future réforme du Code du travail, la ministre chargée de ce portefeuille, Muriel Pénicaud, avait annoncé son intention de porter plainte. Alors porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner déclarait dans la foulée : "Je fais confiance à [la liberté de la presse] parce qu'elle est fondamentale. Mais elle vous oblige aussi, vous les journalistes, dans le contrôle de vos sources, dans l'anticipation des conséquences de la dénonciation de tel ou tel fait". Le 28 juin 2017, le macroniste du premier cercle volait également au secours de Muriel Pénicaux, visée par une enquête en tant qu'ancienne responsable de Business France. Il avait demandé à la presse de "ne pas chercher à affaiblir" sa consoeur.
© HARSIN ISABELLE / SIPA