Juin 2017 : les femmes le "déçoivent" souvent

Christophe Castaner au micro de Quotidien, le 27 juin 2017. © Capture Quotidien
Le 27 juin 2017, un journaliste de Quotidien demande à Christophe Castaner, alors secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le parlement, ce qu'il pense de l'absence d'une femme au Perchoir de l'Assemblée nationale, contrairement à ce que pronostiquait l'homme politique. Ce dernier répond face caméra : "Voyez, comme quoi, parfois je peux avoir des espérances à titre personnel et être déçu. Et ça m'arrive souvent dans ma vie privée, d'avoir ce genre d'espérances face aux femmes et d'être déçu". Des mots lui valant les qualificatifs de "misogyne" et "beauf" sur la Toile, relaie L'Obs. Selon l'ex-ministre Jean-Louis Bianco, l'un des mentors du ministre de l'Intérieur, dans Sud-Ouest, Christophe Castaner a été "perçu à Paris comme le kéké, le cacou, [et] il ironise là-dessus". Aujourd'hui père de deux filles, le ministre admet "une part de mise en scène".
Le 27 juin 2017, un journaliste de Quotidien demande à Christophe Castaner, alors secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le parlement, ce qu'il pense de l'absence d'une femme au Perchoir de l'Assemblée nationale, contrairement à ce que pronostiquait l'homme politique. Ce dernier répond face caméra : "Voyez, comme quoi, parfois je peux avoir des espérances à titre personnel et être déçu. Et ça m'arrive souvent dans ma vie privée, d'avoir ce genre d'espérances face aux femmes et d'être déçu". Des mots lui valant les qualificatifs de "misogyne" et "beauf" sur la Toile, relaie L'Obs. Selon l'ex-ministre Jean-Louis Bianco, l'un des mentors du ministre de l'Intérieur, dans Sud-Ouest, Christophe Castaner a été "perçu à Paris comme le kéké, le cacou, [et] il ironise là-dessus". Aujourd'hui père de deux filles, le ministre admet "une part de mise en scène".
© Capture Quotidien