Pertes de la SNCF

La SNCF était dans le rouge en 2013 © shocky - Fotolia

180 millions d'euros en 2013

C'est le montant des pertes accusées par la SNCF en 2013. Le patron, Guillaume Pépy, avait alors justifié ces résultats décevants par une "dépréciation des actifs" (les rames TGV), mais aussi sur une exploitation de moins en moins rentable. La SNCF avait explicitement cité les droits de péage qu'elle verse à RFF pour l'entretien du réseau comme source de pertes. Si l'activité TGV est très rentable entre les grandes villes, elle est très fortement déficitaire sur les lignes reliant les villes moyennes. La SNCF pourrait encore perdre de l'argent sur son exercice 2014. Selon Guillaume Pépy, la grève de juin dernier aurait coûté plus de 160 millions d'euros. La société présentera ses comptes courant février. 
180 millions d'euros en 2013 C'est le montant des pertes accusées par la SNCF en 2013. Le patron, Guillaume Pépy, avait alors justifié ces résultats décevants par une "dépréciation des actifs" (les rames TGV), mais aussi sur une exploitation de moins en moins rentable. La SNCF avait explicitement cité les droits de péage qu'elle verse à RFF pour l'entretien du réseau comme source de pertes. Si l'activité TGV est très rentable entre les grandes villes, elle est très fortement déficitaire sur les lignes reliant les villes moyennes. La SNCF pourrait encore perdre de l'argent sur son exercice 2014. Selon Guillaume Pépy, la grève de juin dernier aurait coûté plus de 160 millions d'euros. La société présentera ses comptes courant février. 
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