Hébergement d’urgence : +106 % de financement 

Un usager dans les couloirs de la maison relais de Nantes. © SALOM-GOMIS SEBASTIEN / SIPA
C'est l'un des postes de dépense principal du financement du droit d'asile. Les hébergement d'urgence "généralistes", chargés lutter contre l'exclusion (ils accueillent aussi des sans domicile fixe) englobent : 
-  les demandeurs d'asile en attente d'obtenir une autorisation provisoire de séjour
- d'autres migrants en pleine procédure de demande d'asile (en raison de l'engorgement du dispositif spécifique aux demandeurs d'asile) 
- après la procédure, la plupart des personnes déboutées du droit d'asile
Résultat : moins d'un tiers des demandeurs d'asile est hébergé dans les structures spécifiques aux demandeurs d'asile.
C'est l'un des postes de dépense principal du financement du droit d'asile. Les hébergement d'urgence "généralistes", chargés lutter contre l'exclusion (ils accueillent aussi des sans domicile fixe) englobent :  -  les demandeurs d'asile en attente d'obtenir une autorisation provisoire de séjour - d'autres migrants en pleine procédure de demande d'asile (en raison de l'engorgement du dispositif spécifique aux demandeurs d'asile)  - après la procédure, la plupart des personnes déboutées du droit d'asile Résultat : moins d'un tiers des demandeurs d'asile est hébergé dans les structures spécifiques aux demandeurs d'asile.
© SALOM-GOMIS SEBASTIEN / SIPA