Ils changent de nombreuses fois de téléphone portable

Les djihadistes de Verviers semblaient bien connaître les méthodes des enquêteurs. © Wikimedia
Un des membres de la cellule terroriste démantelée par les policiers belges en janvier dernier à Verviers semblait particulièrement bien connaître les méthodes d'investigation des enquêteurs. Il a par exemple utilisé cinq portables différents au cours de la préparation de l'attentat. Le rapport du département de la Sûreté intérieure américain souligne aussi le fait qu'il a poussé ses acolytes à changer souvent de véhicules ou encore à y traquer les microphones. Les conversations interceptées par les services de police étaient menées en français, arabe et dans un dialecte marocain. Et fréquemment cryptées pour rendre la tâche des services de renseignement plus ardue. 
Un des membres de la cellule terroriste démantelée par les policiers belges en janvier dernier à Verviers semblait particulièrement bien connaître les méthodes d'investigation des enquêteurs. Il a par exemple utilisé cinq portables différents au cours de la préparation de l'attentat. Le rapport du département de la Sûreté intérieure américain souligne aussi le fait qu'il a poussé ses acolytes à changer souvent de véhicules ou encore à y traquer les microphones. Les conversations interceptées par les services de police étaient menées en français, arabe et dans un dialecte marocain. Et fréquemment cryptées pour rendre la tâche des services de renseignement plus ardue. 
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