Réparer un avion en panne ou sauter

Des paras français au Zaire en 1978. © ESCHHOUPLINE / SIPA
Pour faire son service militaire chez les "Chevaliers du ciel", il fallait présenter les aptitudes "intellectuelles et médicales" adéquates. A l'issue des "Trois jours", session d'évaluation des potentiels et d'orientation des futurs soldats, on pouvait également être affecté à un régiment para - unité de l'Armée de terre chargée de la protection des points sensibles mais aussi d'opérations spéciales. Dans ces unités combattantes, on apprenait bien sûr à sauter, même si rares étaient ceux qui s'y retrouvaient sans avoir jamais tutoyé les airs. Au sein de l'Armée de l'air elle-même, l'appelé apprenait des spécificités liées aux différents métiers de cette armée : fusilier commando, Escadron de Défense Sol-Air, Pompier de l'Air, mécanicien avion, juriste...
Pour faire son service militaire chez les "Chevaliers du ciel", il fallait présenter les aptitudes "intellectuelles et médicales" adéquates. A l'issue des "Trois jours", session d'évaluation des potentiels et d'orientation des futurs soldats, on pouvait également être affecté à un régiment para - unité de l'Armée de terre chargée de la protection des points sensibles mais aussi d'opérations spéciales. Dans ces unités combattantes, on apprenait bien sûr à sauter, même si rares étaient ceux qui s'y retrouvaient sans avoir jamais tutoyé les airs. Au sein de l'Armée de l'air elle-même, l'appelé apprenait des spécificités liées aux différents métiers de cette armée : fusilier commando, Escadron de Défense Sol-Air, Pompier de l'Air, mécanicien avion, juriste...
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