D'après les éléments de l'enquête sur le décès de Maxwell Gurver rapportés par cnewsmatin, l'étudiant aurait été victime d'un "jeu" ayant mal tourné. Ce soir-là, les aspirants (ceux voulant entrer dans la fraternité) participaient à une session de questions-réponses, tête contre le mur dans un couloir sombre. Il fallait boire un verre d'alcool pour chaque mauvaise réponse donnée. Les bizutages banalisés aux Etats-Unis ont fait bien d'autres victimes invisibles. Selon une étude réalisée par des chercheurs de l'Université du Maine et reprise par l'AFP, le problème touche même la majorité des occupants des campus américains : 55% des étudiants faisant partie de fraternités ou sororités universitaires disent avoir subi des formes de bizutage telles que "consommation d'alcool, humiliation, isolement, privation de sommeil et actes sexuels".
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