Des peines trop légères pour les coupables

Tribunal correctionnel. Image d'illustration. © SIMON ISABELLE / SIPA
5 novembre 2013. Une association étudiante est condamnée à 7 500 euros d'amende avec sursis pour "homicide involontaire". Chargée de l'organisation d'une fête à l'Ecole centrale de Paris, elle était jugée pour la mort d'un étudiant alcoolisé ayant succombé à un coma éthylique. Elle a dû s'expliquer devant le tribunal correctionnel de Nanterre. Le président de l'association au moment des faits a quant à lui été relaxé. Des peines bien trop légères pour Marie-France Henry, présidente du Comité national contre le bizutage, qui s'insurge dans L'Express : "le coupable n'a eu que du sursis, même pour l'amende. C'est scandaleux !".
5 novembre 2013. Une association étudiante est condamnée à 7 500 euros d'amende avec sursis pour "homicide involontaire". Chargée de l'organisation d'une fête à l'Ecole centrale de Paris, elle était jugée pour la mort d'un étudiant alcoolisé ayant succombé à un coma éthylique. Elle a dû s'expliquer devant le tribunal correctionnel de Nanterre. Le président de l'association au moment des faits a quant à lui été relaxé. Des peines bien trop légères pour Marie-France Henry, présidente du Comité national contre le bizutage, qui s'insurge dans L'Express : "le coupable n'a eu que du sursis, même pour l'amende. C'est scandaleux !".
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