La vente d'alcool fort

La loi Bachelot porte le nom de l'ex-ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports. © MEIGNEUX / SIPA
Il sera reproché à l'association de l'Ecole centrale de Paris par la justice la vente d'alcool fort, alors qu'elle n'avait qu'une licence II, permettant d'écouler uniquement des alcools "non-distillés" comme la bière, le vin ou le cidre. Le président de l'association a évoqué dixit Le Monde "la force des traditions étudiantes, la pression des anciens et l'entraînement des autres écoles". Un esprit de compétition qui peut coûter la vie, comme pour Alexander en 2005. L'affaire a été un déclencheur de la loi Bachelot, rappelle l'AFP. Une loi qui interdit depuis 2009 la distribution gratuite d'alcool mais aussi les opérations "open bar" (vente d'alcool au forfait), jusque-là très fréquentes au sein des grandes écoles.
Il sera reproché à l'association de l'Ecole centrale de Paris par la justice la vente d'alcool fort, alors qu'elle n'avait qu'une licence II, permettant d'écouler uniquement des alcools "non-distillés" comme la bière, le vin ou le cidre. Le président de l'association a évoqué dixit Le Monde "la force des traditions étudiantes, la pression des anciens et l'entraînement des autres écoles". Un esprit de compétition qui peut coûter la vie, comme pour Alexander en 2005. L'affaire a été un déclencheur de la loi Bachelot, rappelle l'AFP. Une loi qui interdit depuis 2009 la distribution gratuite d'alcool mais aussi les opérations "open bar" (vente d'alcool au forfait), jusque-là très fréquentes au sein des grandes écoles.
© MEIGNEUX / SIPA